Cette carte de vin a été réalisée avec amour et humour par de sacrés lurons-chanteurs ! Il est important de relever que tout ce qui est écrit à propos des vins est le fruit de notre ressenti. Bien que nous ne soyons pas sommeliers de profession, nous espérons que certains arômes décrits seront semblables à ceux que vous détecterez. Si tel n’est pas le cas, nous comptons sur notre carte humour pour égailler votre dégustation.
Nous tenons à remercier chaleureusement la cave du Chavalard pour ses succulents vins. Grâce à une collaboration éclairée et bienveillante avec son patron, Gilles Carron, nous sommes en mesure de vous proposer ses vins à des prix très attrayants. Merci à lui du fond du chœur !
En espérant que votre expérience viticole vous fasse voyager jusqu’à Fully, nous vous souhaitons une délicieuse dégustation !
Le léger parfum de sureau de ce vin d’apéro fleurit parmi ses arômes plus minéraux : un fendant qui rappelle l’alpage.
Naturellement intrigués par cette symphonie, les musiciens que nous sommes apprécièrent sa légèreté fruitée et joyeuse.
S’il fallait choisir un vin pour accompagner le dessert, notre préférence irait au Gewürztraminer. Sa douceur abricotesque saura mettre les points sur les i que « super menu » n’a pas.
On dit que pour juger de la qualité d’une cave valaisanne, il faut en goûter le pinot noir. Avec son caractère fruité (fraise), ce vin fait honneur au Chavalard.
Un agréable vin plutôt fruité et vanillé. On le recommande après un repas, ou avant, ou pendant, ou quand vous en avez envie
Un vin mélodieusement équilibré, dont les épices relèvent les tanins pour un résultat fort harmonieux.
Une gorgée de ce vin de caractère plutôt astringent risque de vous laisser une impression d’assèchement en bouche. On craindrait que la sécheresse ne dure, mais bonne nouvelle : vous avez un verre d’humagne dans la main.
Le nez esquisse déjà la complexité de cette Syrah, qui se confirme lors du défilé aromatique en bouche : vanille, bois, myrtilles et j’en passe…
Ne croyez surtout pas les rumeurs qui prétendent que Michel Delpech s’est inspiré du flirt rouge pour composer sa célèbre chanson. Peronnellement, je pourrais me damner pour un seul verre d’ce rosé !